Appel à soutien aux faucheurs d’OGM
Voici un message de vigilance OGM 21 :
SOLIDARITE AVEC LES FAUCHEURS VOLONTAIRES D’OGM PROCES DE POITIERS
Le 15 août 2008, une centaine de Faucheurs Volontaires avaient neutralisé à Civaux et à Valdivienne (Région Poitou-Charentes) 2 parcelles d’essais de MON810 x NK603 (maïs) qui avait été interdit par le gouvernement début 2008. Le Conseil d’Etat avait déclaré les parcelles fauchées illégales en octobre de la même année, soit plus de deux ans après le recours déposé pour faire interdire cette culture. L’action des Faucheurs Volontaires relevait donc de l’état de nécessité. En ne prenant pas en compte cette réalité, la Cour d’appel de Poitiers s’est rangée délibérément du coté de Monsanto et des pollueurs. La clause de sauvegarde sur le MON 810 a été levée en novembre 2011, et le gouvernement, malgré ses engagements, n’a pas encore réactivé ce moratoire.
Le 16 février 2012, la Cour d’Appel de Poitiers a condamné huit de ces faucheurs volontaires d’OGM à des très lourds dommages et intérêts. Malgré une relaxe obtenue en première instance, ces militants devront s’acquitter de 138 702 € à la firme Monsanto ; 35 000 € à l’entreprise IDE Maïs, propriétaire des parcelles sur lesquelles étaient installées ces cultures transgéniques et plusieurs dizaines de jours-amendes pour un total de 2 400 €. La note s’élève donc à 175 472 €, soit aujourd’hui, une des plus lourdes condamnations jamais prononcées.
PROCES DE COLMAR
Le 15 août 2010, soixante Faucheurs Volontaires neutralisent un essai de vigne transgénique effectué par l’INRA à Colmar. Cet essai en plein air n’avait pour unique but que de tester la résistance des pieds de vigne OGM au virus du court-noué. Autrement dit, mettre au point une vigne transgénique plutôt que d’effectuer des recherches sur la nocivité des plantes génétiquement modifiées pour l’être humain et l’environnement.
Le 14 octobre 2011, le tribunal de Colmar a condamné ces faucheurs à 57001 € de dommages et intérêts destinés à l’INRA, plusieurs dizaines de jours-amendes pour un total de 7200 € et chacun à 2 mois de prison avec sursit. Les condamnés acceptent de payer les dommages et intérêts à l’organisme de recherche publique. Malgré une condamnation qui pourrait passer pour « clémente », les faucheurs font appel au jugement de première instance sur leurs condamnations pénales. Le domaine de la recherche publique n’a pour but de rivaliser avec les firmes biotechnologiques et semencières. Son rôle est au contraire de mettre en oeuvre des études pour en protéger les consommateurs et fournir des outils aux viticulteurs afin de redonner une valeur plus respectueuse de l’environnement à leur production. Ce procès en appel aura lieu les 20 et 21 juin 2012 à Colmar.
PROCES DE MAGALIE
Depuis le 10 juillet 2008…….jusqu’à aujourd’hui se déroule plus discrètement une affaire pas sympa du tout. Pour l’historique du procès de Magalie, rendez vous sur ce site: http://inougav.blogspot.com/ Le 9 mars 2012, la chambre correctionnelle de la cour d’appel de Bordeaux rendait le délibéré concernant l’indemnisation du préjudice corporel du policier Gagne (sic). Pour entériner financièrement cette saga judiciaire il manque 14031,82 €. (9845,82 € pour préjudice corporel, frais médicaux et frais de procédure et 4186 € frais d’avocat de cassation). Les dons sont à envoyer à l’ordre de INOUGAV ; 3 allée des Agudes – 31770 Colomiers
SOUTIEN AUX CONDAMNES
Pour que les frais de justice ne soient pas le frein à l’action des Faucheurs Volontaires, la solidarité doit s’organiser. Vous êtes invitez à montrer votre détermination à l’Etat. Envoyez vos dons (déduction fiscale) à Sans Gène
Manger bio, c’est pas du luxe!
Pour nos marmots, il faut du bio!
Voici le titre (éloquent!) de la conférence que viendra présenter le Dr Lilian Le Goff le 12 avril prochain.
Détails et horaires : Chouette c’est bio!
Du sang sur la banquise…
Nous nous souvenons tous des images de Brigitte Bardot aux côtés d’un bébé phoque, luttant pour que le massacre de ces animaux cesse…
J’ai l’impression d’avoir vu ces images il y a des siècles, et pourtant, le massacre continue…encore et toujours…
Dans les mêmes conditions d’abattage, de barbarie. Je ne comprendrai jamais comment des hommes sont capables de telles choses…
Si vous voulez que cesse (enfin) le massacre de ces animaux, vous pouvez signer une pétition ou écrire aux autorités
Etude Nutrinet santé
Une étude qui permettra de créer le lien entre la nutrition et la santé.
Devenue moi-même nutrinaute depuis plus d’un an, j’aime assez l’idée de participer en tant que consommatrice de produits bio à la mise en lumière des bienfaits de ce type de consommation.
Voici un article présentant l’étude par Bio Consom’acteurs :
Nutrinet santé: devenez un des 500 000 nutrinautes – embarquement immédiat !
De nombreuses études scientifiques (chez des malades ou volontaires sains, au niveau des populations, ou sur des modèles animaux ou cellulaires) ont mis en évidence le rôle joué par la nutrition comme facteur de protection ou de risque des maladies les plus répandues en France, comme dans l’ensemble des pays industrialisés, qu’il s’agisse des cancers, des maladies cardiovasculaires, de l’obésité, du diabète de type 2, des dyslipidémies, de l’hypertension artérielle… Sur proposition de Denis Lairon, directeur de recherche à l’INSERM, membre du comité de soutien de Bio Consom’acteurs et chercheur associé de l’équipe Nutri-Net Santé, auteur de l’article NutriNet-Santé et les consommateurs bio, l’association Bio Consom’acteurs vous propose d’apporter votre contribution à une étude fondamentale sur la nutrition, Nutri-Net Santé.
Pourquoi Nutri-Net Santé ?
Identifier des facteurs de risque ou de protection liés à la nutrition constitue donc une étape indispensable pour établir des recommandations nutritionnelles visant à prévenir ces maladies et à améliorer la santé des populations. Tel est le fondement de l’étude NutriNet-Santé lancée en 2009 par le Professeur Serge Hercberg, directeur de recherche à l’Inserm , président du Comité de Pilotage du Programme National Nutrition Santé (PNNS) et professeur de nutrition à la Faculté de Médecine Paris XIII, et une équipe de scientifiques : mettre en évidence le rôle spécifique des facteurs nutritionnels en développant des études de « cohorte » (groupe de sujets suivis pendant plusieurs années) portant sur de très grandes populations.
Objectifs de l’étude :
L’objectif général de cette étude est de mieux évaluer les relations entre la nutrition et la santé et de comprendre les déterminants des comportements alimentaires.
Il s’agit d’étudier, sur un large groupe de personnes vivant en France :
* Les comportements alimentaires et leurs déterminants en fonction de l’âge, du sexe, des conditions socio-économiques, du lieu de résidence, etc.
* Les relations entre les apports alimentaires, l’activité physique, l’état nutritionnel et la santé.
Le but de cette étude est d’identifier des facteurs de risque ou de protection liés à la nutrition pour ces maladies, étape indispensable pour établir des recommandations nutritionnelles permettant de prévenir le risque de maladies et d’améliorer la qualité de la santé de la population actuelle et des générations futures.
Pourquoi participer ?
Aujourd’hui près de 220 000 personnes (sur les 500 000 nécessaires) ont rejoint la cohorte des volontaires appelés « Nutrinautes ». Les chercheurs de l’équipe lancent donc un nouvel appel pour atteindre leurs objectifs, en direction de participants de tous âges, de tous niveaux socio-économiques, de toutes régions, bien portants ou malades, qui accepteront de consacrer un peu de leur temps par Internet (15-20 minutes par mois).
Si vous souhaitez contribuer au progrès des connaissances scientifiques dans le domaine de la prévention nutritionnelle des maladies, rejoignez la cohorte des Nutrinautes dès maintenant !
Qui peut participer à la grande Aventure « NutriNet-Santé » ?
Toutes les personnes âgées de 18 ans et plus.
Il suffit d’avoir accès à Internet et de disposer d’une adresse e-mail individuelle.
La participation est totalement bénévole ; elle n’induit aucun frais pour le participant.
Les informations communiquées par le Nutrinaute restent strictement confidentielles.
Comment participer ?
Pour s’inscrire, il suffit de se rendre sur le site www.etude-nutrinet-sante.fr et de suivre les instructions.
Une fois inscrit, on accède à son espace personnel sécurisé de membre de la cohorte NutriNet-Santé. Il faut remplir 5 questionnaires concernant : * caractéristiques sociodémographiques et mode de vie, * état de santé, * mesures anthropométriques (poids, taille…), * activité physique dans la vie quotidienne, et * alimentation.
Un questionnaire spécifique sur l’alimentation bio complète le questionnaire de base.
Par ailleurs, les Nutrinautes qui le souhaitent seront invités à réaliser un bilan clinique et biologique à l’occasion de consultations organisées par l’équipe de recherche dans une trentaine de villes en France. L’objectif principal de cette consultation optionnelle est de fournir aux chercheurs des ressources supplémentaires exceptionnelles pour mieux connaître les mécanismes expliquant le rôle des facteurs nutritionnels dans la survenue de maladies.
Bio Consom’acteurs incite ses adhérents et sympathisants, consommateurs de produits biologiques, à cette étude : plus il y aura de Nutrinautes volontaires inscrits, bio et non bio, plus les résultats de l’étude seront convaincants, et plus les conclusions seront puissantes et solides ! Et ces conclusions seront très certainement un argument scientifique fort en faveur du développement de l’alimentation biologique.
Corinne Doublat
Administratrice de Bio Consom’acteurs
vice présidente de Bio Consom’acteurs Provence
8 Hours : un pas de plus
La campagne 8 hours relayée en France par One Voice vient de franchir un cap. La déclaration écrite pour la réduction du temps de transport des animaux vers les abattoirs a été signée par la majorité des eurodéputés ! Elle va donc pouvoir être transmise à la Commission européenne.
Voici l’article en ligne sur le site de One Voice :
Juste à temps
Nous vous l’annoncions en janvier, grâce à la signature en masse de la pétition 8hours, une déclaration écrite était présentée par 5 eurodéputés : Dan Jørgensen (Danemark), Esther de Lange (Pays-Bas), Pavel Poc (République Tchèque), Carl Schlyter (Suède) and Andrea Zanoni (Italie). Son objectif : obtenir le soutien de la majorité des eurodéputés – donc au moins 378 – pour pouvoir être présentée à la Commission et au Conseil européen. Pour y parvenir, One Voice a activement participé à la campagne, non seulement en diffusant la pétition, mais à travers des courriers adressés aux députés et surtout en se positionnant avec ses militants à l’entrée de l’hémicycle. Grâce encore une fois à la mobilisation de tous dans cette véritable course contre la montre, le nombre de signatures requis a été atteint juste à temps, à la veille de la date limite. La déclaration écrite WD49 est donc adoptée par le Parlement européen, avec le soutien d’environ 390 eurodéputés !
Une étape importante de franchie
Cette déclaration appelle la Commission et le Conseil à revoir la Directive transport 1/2005 pour limiter à 8 heures maximum le transport des animaux vivants vers les abattoirs. Elle va maintenant être transmise à la Commission européenne et aux gouvernements des états membres. C’est le début d’un long processus et d’un bras de fer qui s’annonce musclé, mais c’est surtout un grand espoir.
Une mobilisation fructueuse des citoyens européens
La déclaration fait clairement référence à la mobilisation des citoyens européens, qui sont plus d’un million à avoir signé la pétition en ligne de 8hours. Lancée à l’initiative d’Animal’s Angels et du député Dan Jørgensen, cette campagne est l’une des plus importantes à avoir été menée en Europe concernant le bien-être des animaux. Elle prouve le pouvoir de chacun à devenir acteur de l’évolution de notre société.
Les signatures seront bientôt remises à Bruxelles. Si la Commission refuse, elle aura à justifier clairement, non seulement au Parlement, mais à plus d’1 millions de citoyens, pourquoi la cruauté doit perdurer sur les routes…
Agir : ce que vous pouvez faire
En attendant la réponse de la Commission, la campagne continue. One Voice s’est fixée pour objectif de l’amplifier en France afin de préparer ce qui va suivre. Les ministres vont être aussi appelés à voter, il est donc important de convaincre le ministre de l’agriculture français…
Pour nous y aider, vous pouvez continuer à diffuser l’information et la carte pétition !
Earth hour avec WWF
Le samedi 31 Mars, de 20h30 à 21h30, le WWF lance la 4ème édition de Earth Hour.
Citoyens, pouvoirs publics, villes et entreprises sont invités à éteindre leur lumière pendant une heure afin de lutter contre le changement climatique.
Tout ce que vous devez savoir pour participer se trouve ici!
Alors le 31 Mars, éteignons la lumière!
Opération carton noir avec One Voice
Voici un article paru sur le site de One Voice présentant le lancement d’une opération consistant à réclamer l’arrêt des expériences animales aberrantes et non justifiées :
Mars 2012. Avec la publication d’un nouveau rapport sur des expérimentations insensées menées sur les rats, les lapins et les souris, One Voice lance une grande campagne de mobilisation contre les expériences aberrantes. Mobilisez-vous !
La recherche médicale est-elle soumise à une éthique en matière d’expérimentation ? Les études menées sur les animaux sont-elles utiles ? Le résultat de ces recherches est-il toujours transposable à l’humain ? Ne fait-on pas, dans le cadre de ces recherches, des doublons, des répétitions d’expérimentations déjà réalisées dans le passé ? C’est cette somme de questions qui nous vient à l’esprit après l’enquête réalisée par One Voice, dont le second volet est consacré aux expériences effectuées sur les plus petits des animaux martyrisés dans les laboratoires, à savoir les lapins, les souris et les rats.
Enquête au pays de l’aberration
Mise en œuvre, depuis 2007, par des organismes de recherche français, la série d’expérimentations étudiées par One Voice révèlent des pratiques douteuses. Comme à l’occasion de notre première enquête sur les expériences effectuées sur les chats et les chiens, ce second volet confirme que l’expérimentation animale martyrise et détruit inutilement des millions de vies. La lecture du rapport force à interroger les pratiques de recherche, et appelle à la vigilance et à l’action. La drogue et l’alcoolémie, les infections de l’œil, les scolioses – trois types de pathologies humaines présentées dans ce rapport – sont exploitées comme des prétextes qui valident l’expérimentation, la torture et la souffrance animale. Jugez plutôt.
Des expériences aux résultats connus d’avance
Pour exemple, le test qui consiste à droguer des rats et des souris pour « modéliser un état de manque » dans le cadre d’une recherche sur la dépendance à l’alcool. On force des rats à boire une eau mélangée à de l’éthanol et on augmente les doses pour créer l’accoutumance. Puis on implante d’étroits tuyaux dans le cerveau des rats pour y injecter directement l’alcool afin de vérifier les mécanismes de stress liés au manque. Une opération lourde et douloureuse dont les résultats sont pourtant connus. Le liquide objet du test est une substance chimique, son rôle dans l’alcoolisme a déjà été prouvé par des études de tissus cérébraux humains. Idem pour les expériences sur les souris destinées à mesurer l’influence du cannabis sur la mémoire… Ses effets sont pourtant déjà de notoriété publique !
Une injustifiable répétition de tortures
D’autres expériences sont plus que contestables sur un plan éthique. Pour savoir comment certaines souches pathogènes de la bactérie E. coli se propagent dans le cas d’infections oculaires, des lapins sont littéralement torturés. Des coupures, des irritations et des points de suture sont effectués sous anesthésie dans leurs yeux. Sur certains, on entaille la surface de l’œil en y enfonçant une aiguille déplacée ensuite à travers la cornée. Sur d’autres, la surface de l’œil est grattée en utilisant le plat de la lame d’un scalpel pour ôter la couche supérieure de la cornée. Certains lapins sont gardés ainsi blessés près d’un mois. Une logique de pure barbarie. D’autant plus quand on découvre que cette expérimentation, menée par deux institutions françaises, avait déjà été décrite dans une étude japonaise ! En outre, plusieurs alternatives non-violentes étaient possibles. Notamment grâce aux données disponibles concernant des patients hospitalisés…
Modèle humain ? Modèle animal ?
Intervenir sur la colonne vertébrale du lapin, mammifère quadrupède, pour soigner la scoliose humaine, mammifère bipède, est une autre des recherches « aberrantes » actuellement menées. Les chercheurs créent de toute pièce la maladie chez l’animal en pratiquant des soudures osseuses ou en implantant des baguettes en forme de C de chaque côté de la colonne vertébrale. Or la scoliose n’atteint que très rarement les animaux à quatre pattes… Les lapins, par exemple, n’ont pas la même colonne vertébrale que nous qui évoluons debout. Non seulement leur croissance est bien plus rapide (leur squelette atteint sa maturité au bout de sept mois) mais en tant que quadrupèdes, leur colonne et leurs organes ne sont pas positionnés de la même manière que chez l’homme, donc pas soumis aux mêmes forces gravitationnelles.
Ensemble pour la fin des expériences aberrantes
Pour mettre un terme à ces pratiques, One Voice lance une grande campagne avec différentes opérations en France et en Europe, qui doivent être menées de concert avec le public. Une première action de lobbying est actuellement déployée, avec la diffusion du rapport auprès des députés européens et des candidats à la présidentielle.
Dans le cadre d’une protestation citoyenne, et en écho au Petit Livre Noir du premier volet de notre enquête, un « Carton Noir pour l’expérimentation animale » est diffusé. À travers cette phrase en forme de protestation, « Nous voulons des actes », ce carton demande l’abolition pure et simple de toutes les expériences aberrantes sur tous les animaux. Il est à envoyer au Président de la Commission européenne. Pour accompagner ce carton, et appuyer notre action, le public peut également signer et envoyer la « Lettre des citoyens », intitulée « La cruauté n’a jamais fait avancer l’humanité ».
De plus, une action est engagée auprès des vétérinaires avec un carton noir spécial, pour les inviter à rejoindre le mouvement et à s’impliquer pour la fin de ces expériences indignes…
Agir : Demandez des actes !
Les expériences aberrantes doivent définitivement disparaître des laboratoires… Ensemble, nous avons le pouvoir d’y mettre un terme. La mobilisation de tous sera la clé du succès ! Affirmez vos choix ! Commandez et diffusez massivement le carton noir pour l’expérimentation animale et la Lettre des citoyens. En ces temps de campagne, la voix des citoyens devra être écoutée…
Les plus petits des êtres vivants ont besoin de notre aide. Soyons leurs porte-voix !
Le petit livre noir de l’expérimentation animale
Ne restons pas insensibles aux souffrances inutiles endurées par ces animaux…
11 Mars 2012 : chaîne humaine pour sortir du nucléaire
Retrouvez sur ce site le suivi de la mobilisation pour la chaîne humaine pour sortir du nucléaire :
Il y a un an…Fukushima…
Petit tour d’horizon sur ce qui se dit sur internet à propos de Fukushima, un an après….
Un bien triste anniversaire qui n’a pas fini de faire parler de lui… Nous n’en sommes qu’au début…
Vidéos :
Message d’un expatrié français (très convaincant…)
Colère des habitants de Fukushima
Sortons du nucléaire…
Politique et animaux
Voici un site initié entre autres par l’association L214 qui permet de connaître les positions des différents candidats à l’élection présidentielle concernant les animaux :